mercredi 29 novembre 2017

Complot: Défi lancé à l'animateur Guy A. Lepage



J'ai lancé un défi à l'animateur québécois de l'émission «Tout le monde en parle», Guy A. Lepage, afin de voir s'il est assez courageux pour aller au bout de ses idées, à savoir notamment que l'existence du «complot» relève d'une affabulation. Ce serait l'occasion de réveiller au Québec l'affaire que les tribunaux français ont étouffé, sous le règne de Sarkozy, impliquant des complices de Guy A. Lepage, dans ce «gigantesque complot» (ce sont les mots de Guy A. Lepage, écrits noir sur blanc) ourdi contre moi. J'attire l'attention de La SQ sur le sujet.

Voici les tweets que je lui ai adressés:


 Mountaga Fan Kantéka‏ ‪@KantkaF‬ 14 hil y a 14 heures


‪@OFF_TLMEP‬ Grand Manitou Lepage, ce texte s'adresse à vous: Qui ose nier l'existence du complot? ‪https://kanteka.blogspot.ca/2017/11/qui-ose-nier-lexistence-du-complot.html …‬

Mountaga Fan Kantéka‏ ‪@KantkaF‬ 2 hil y a 2 heures

‪@OFF_TLMEP‬ Monsieur Lepage, j'espère bien que vous allez réagir, sans interposition de personnes, car le temps est venu de tirer les choses au clair.
 Mountaga Fan Kantéka‏ ‪@KantkaF‬ 9 minil y a 9 minutes


‪@OFF_TLMEP‬ M. Lepage, n'eût-été le manque de moyens, je vous poursuivrais pour complot et complicité dans l'écoulement des produits issus de la contrefaçon.
0 réponse 0 Retweet 0 j'aime



 Mountaga Fan Kantéka‏ ‪@KantkaF‬ 4 minil y a 4 minutes


‪@OFF_TLMEP‬ Cependant, si vous vous estimez diffamé, vous pouvez me poursuivre, afin que je puisse me prévaloir d'une action reconventionnelle. Comme cela, on verra bien si le «complot» est une théorie ou pas. Je vous mets au défi, devant Dieu et les hommes.


mardi 28 novembre 2017

Qui ose nier l'existence du complot?



J'ai capté par hasard, dimanche soir sur Radio-Canada, dans un talk show biaisé (empruntant la ronflante appellation «Tout le monde en parle»), un échange entre un animateur arrogant et un semblant de journaliste-chercheur, tous deux répondant du même patronyme Lepage, et tous deux étant des «chiens de garde» de ceux qui se croient les «maîtres du monde». L'animateur arrogant, maintes fois dénoncé pour ses partis-pris éhontés, donnait ainsi la parole à son «frère» journaliste. Et ce dévoué soldat des systèmes corrompus et décadents, tout à sa passion, s'escrimait à vouloir vomir sur ceux qui, à ses dires, sont des «partisans de la théorie du complot». Il s'adressait ainsi à tous ceux qui mettent en doute les versions officielles qu'on donne de certains événements qui interpellent les consciences. À le voir gigoter et pester, on aurait dit que ce sieur Lepage se prend pour le prophète de la vérité. Je vais donc répondre ici aux deux «frères» Lepage. Et je serai très bref!

Le complot: une réalité et une infraction criminelle

Sans vouloir faire un cours d'histoire ou de droit, je réponds à l'animateur et au journaliste du même nom que l'existence du complot est attestée, depuis que le monde existe et depuis que certains hommes se croient investis du droit d'en imposer aux autres, au besoin par des moyens crapuleux. Raison pour laquelle toutes les législations du monde ont prévu le «complot» comme étant une infraction assortie de sanctions très sévères.

Pour en venir au sujet qui préoccupe les suppôts du capitalisme sauvage, le complot international est une réalité qu'on ne saurait nier, à moins d'avoir l'esprit fortement perturbé. En tant que Noir et Africain, je suis fondé à croire et à démontrer qu'il existe un complot permanent contre mon peuple et mon continent, visant à le déposséder de ses richesses au profit de l'Occident. La traite négrière, la colonisation et le néocolonialisme sont des faits qu'on ne saurait balayer d'un revers de la main. Les assassinats des leaders africains comme Patrice Lumumba, Thomas Sankara, et bien d'autres, ainsi que les coups d'État militaires fomentés contre des leaders africains patriotes sont aussi des faits qu'on ne saurait nier.
Plus récemment, l'invasion de la Libye et l'assassinat de Mommar Kaddhafi, commandités par la France et les États-Unis sont des faits qu'on ne saurait occulter. Et nous connaissons les conséquences qui sont entre autres le reflux des rebelles touaregs vers le Mali (qu'on veut casser pour le piller) et le sort des immigrants africains réduits en esclavage dans la nouvelle Libye avec la bénédiction de la Communauté européenne.

«Fermez-la et laissez-nous prétendre à une vie décente!»

Mon propos est de rappeler ici la prétention qui anime certains individus, dès lors qu'on leur donne une petite parcelle de pouvoir. En effet, de piètres personnages, aspirant à devenir des parrains de maffia, parce qu'on leur a confié une tribune, se croient autorisés d'en imposer aux autres, en donnant la parole à ceux qui empruntent le même train qu'eux, au détriment de ceux qui parlent un autre langage. Ainsi, on ne se contente plus de la désinformation en vue de contrôler les esprits, on veut aussi déshumaniser ceux qui osent se prévaloir de leur esprit critique. C'est purement et simplement du fascisme. Au lieu de prétendre contrôler les autres, pourquoi ne cherchent-ils pas à contrôler leur propre vie sur laquelle ils n'ont aucune emprise, hormis la faculté d'obéir aux ordres venant d'en haut?

Je dis donc aux deux «frères» Lepage: «Fermez-la et laissez-nous prétendre à une vie décente! Un peu de décence et un peu de compassion pour ceux qui sont les victimes collatérales des complots internationaux permanents, ourdis contre leurs peuples!»

Mountaga Fané Kantéka

vendredi 24 novembre 2017

L'écoute électronique: « C'est encore pire que violer une femme!»



Hier soir, à 21h, Radio-Canada a diffusé une enquête en rapport avec le piratage de votre téléphone, quel que soit l'appareil que vous utilisez. (Voir le lien, ci-dessous). L'enquête démontre comment, à partir d'un pays étranger, on peut intercepter la communication d'une personne se trouvant dans un autre pays. Et ce, avec un simple ordinateur portable. Mieux que cela, on peut suivre la personne à la trace, rien qu'avec son numéro de téléphone. On se croirait en pleine fiction hollywoodienne. Mais, comme j'aime le rappeler souvent, la réalité a de tout temps dépassé la fiction. Il faut avoir subi certaines choses pour admettre leur existence.

Les pratiques de la sorte sont quotidiennes dans les sociétés supposées « démocratiques » où le crime est pourtant institutionnalisé. Je me souviens d'en avoir discuté avec une juge québécoise, au début des années 2000, qui m'avouait que les services de renseignements canadiens vont jusqu'à suivre des individus dans des discothèques, munis d'appareils très sophistiqués qui enregistrent les conversations, malgré la musique assourdissante. Elle me disait qu'elle se savait elle-même victime d'écoutes téléphoniques et que le jour où ces procédés se sauront, « ce serait le plus grand scandale qui secouerait le Canada». Elle concluait avec cette phrase: « C'est encore pire que violer une femme!» Je rapporte d'ailleurs ces propos dans Odyssées noires.

Une pratique très courante

L'écoute électronique est une pratique très courante. Et ce n'est pas seulement avec le cellulaire que ça arrive. Elle peut se faire aussi avec le téléphone fixe. Un jour que je parlais de mes problèmes de plagiat, sur un téléphone fixe, avec un confrère de La Voix de l'Est de Granby (dont le frère jumeau travaillait au Devoir), on a carrément parasité ma ligne de sorte que la communication devenait totalement impossible. Elle peut se faire également avec l'ordinateur, avec des techniques consistant à prendre possession de ton ordinateur à distance. Et toutes ces pratiques viennent souvent des institutions officielles, voire des établissements universitaires. Il y a même des journalistes qui sont complices de ces pratiques. C'est une question qui n'a pas encore fini de défrayer la chronique. Il y aura d'autres révélations qui vont faire tomber des têtes.

Félicitations à ces femmes journalistes de Radio-Canada

Je n'ai pas coutume de féliciter des médias officiels, étant entendu que j'ai développé une véritable aversion pour la désinformation qu'ils entretiennent. Mais, force m'est de croire que Brigitte Bureau et Sylvie Robillard se sont surpassées dans cette enquête. Elles ont mis le doigt sur un point très sensible, en s'aventurant dans l'univers du tabou: ce qu'on sait et qu'on veut taire. Je félicite de tout coeur ces femmes de coeur et d'honneur qui confirment que la révolution sociale viendra des femmes.
Cependant, j'exhorte ces femmes de conviction à aller plus loin en orientant leur éclairage sur ces forces occultes étrangères (notamment le Mossad) qui paralysent l'action de la police et qui poussent des agents de police à infliger des sévices moraux à ceux qui viennent vers eux pour se plaindre de telles pratiques criminelles…

Mountaga Fané Kantéka

Le lien de l'enquête de Radio-Canada:
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/special/2017/11/telephone-mobile-cellulaire-reseau-ss7-depute-espionnage-fraude-failles-securite-bell-rogers-matthew-dube/


mercredi 8 novembre 2017

La manipulation des algorithmes sur Google


Le moteur de recherche google fait de la sélection intempestive en occultant des informations positives et en mettant en avant les informations négatives sur certaines personnes, et inversement. Bien évidemment, tout dépend de la personne en cause et de l'enjeu. Quand on s'attaque à certaines corporations et qu'on est isolé, on devient vite un fantôme sur google. Positivement, on y devient invisible, pour n'y apparaître que de façon négative. En d'autres termes, on n'y jouit que d'une visibilité néfaste. Tous nos articles pertinents, ainsi que tous les articles positifs écrits sur nous deviennent introuvables. Par contre, tous les articles qui nous dépeignent sous un mauvais jour apparaissent instantanément dès qu'on tape notre nom sur google.

Dans le second cas de figure, de piètres et suspects personnages sont survalorisés par ce moteur de recherche qui ne se contente pas de leur accorder une visibilité exagérée, mais les aide à diffamer et à calomnier ceux qui mènent des combats légitimes contre des maffias (éditoriales entre autres). On va jusqu'à occulter des articles qui les mettent en cause. On favorise ainsi les agissements des personnes soutenues par des lobbies propagandistes.

Diffamation et meurtre virtuel

Bien attendu, il s'agit là d'un délit. J'en ai eu la confirmation récemment, en essayant de retrouver certains de mes articles publiés sur mon blog qui en compte 150 environ. Auparavant, quand on tapait mon nom sur Google, c'est mon blog (www.kanteka.blogspot.com) qui apparaissait le premier, suivi par mon compte twitter @kantkaf. Mais, maintenant, c'est une liste de liens non pertinents ou relatifs à des articles calomnieux et diffamatoires sur ma personne qui apparaissent d'abord. Pire que cela, quand je recherche mes articles publiés sur mon blog, ce sont d'autres sites, ayant repris mes articles, qui apparaissent sur la toile, comme si mon blog avait disparu de la toile. Tout se passe comme si l'on a voulu me tuer virtuellement, à cause de la teneur de mes écrits. Par le passé, on avait déjà maintes fois cherché à détraquer mon blog.

Possibilité de poursuites judiciaires

J'ai, depuis un certain temps, fait un retour aux études dans le cadre d'une spécialisation en droit des technologies de l'information. Et dans mes recherches, j'ai constaté que le moteur de recherche Google a été souvent impliqué dans des affaires judiciaires relatives à l'atteinte à la réputation. Je n'écarte donc pas la possibilité de poursuivre Google en justice, pour les motifs que je viens d'énumérer.

Mais, auparavant, je mets en demeure l'équipe technique de ce moteur de recherche d'agir avec diligence et de façon responsable, afin de rendre mes articles accessibles sur la toile, à compter de la publication de cet article.

Mountaga Fané Kantéka