dimanche 25 mai 2008

LE MALI: PLAQUE-TOURNANTE DU RÉSEAU FRANCE-AFRICAIN DE LA CONTREFAÇON LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE


© Copyright 2007, 2008, Mountaga Fané Kantéka

Les MALIENS ne réalisent pas encore le GRAND PÉRIL qui plane sur leur pays du fait de l’implantation d’un important RÉSEAU DE GANGSTÉRISME FRANCO-AFRICAIN sur la terre de leurs Ancêtres.
Le NÉOCOLONIALISME FRANÇAIS qui continue encore à ensanglanter l’Afrique, a ajouté une nouvelle carte à sa manche, en faisant de la CONTREFAÇON LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE son nouveau cheval de bataille. On le voit avec l’impressionnante machine dirigée par MICHEL LE BRIS, en partenariat avec le MINISTÈRE FRANÇAIS DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES et L’ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE. Cette entreprise, d’apparence individuelle, est en vérité un SYSTÈME ÉTATIQUE DÉGUISÉ, opérant comme le vieux SYSTÈME COLONIAL FRANÇAIS.
Au discours civilisateur, servant jadis d’alibi à l’invasion française en Afrique, s’est substitué le DISCOURS TROMPEUR de « LITTÉRATURE-MONDE », une ASTUCE toute trouvée pour combler le VIDE INTELLECTUEL d’un pays qui a perdu ses illusions de grandeur, éprouvant de plus en plus de difficultés avec sa propre langue et n’ayant plus rien à dire au monde. Faisant d’une pierre deux coups, le subterfuge vise à ÉTOUFFER LES CONSCIENCES AFRICAINES tout en DÉPOUILLANT ces « colonies françaises » de leurs RESSOURCES CULTURELLES en s’accaparant leur patrimoine culturel et leur mémoire pour les contrefaire et en tirer des PROFITS GIGANTESQUES servant en partie à nourrir des journaux en faillite permanente, au financement occulte de partis politiques et des conflits armés déstabilisateurs.
Ce grand BANDITISME INSTITUTIONNALISÉ se fait avec la COMPLICITÉ des NATIFS des pays concernés, exactement comme au TEMPS COLONIAL quand l’armée coloniale française, composée de «Tirailleurs sénégalais » dirigés par un officier blanc, tombait sur d’autres Africains pour les soumettre en ESCLAVAGE dans leurs propres pays. L’OFFICIER BLANC ici est le Breton MICHEL LE BRIS à la tête de sa troupe coloniale littéraire, composée de Nègres de service éparpillés dans le monde, ayant comme chef de file ALAIN MABANCKOU.
À l’instar des colons français qui ont envahi l’Afrique à partir du SÉNÉGAL, cette nouvelle forme de colonisation a choisi BAMAKO, la capitale du MALI, comme tremplin pour envahir l’espace intellectuel africain, en y implantant la base du festival littéraire ÉTONNANTS VOYAGEURS très vite dédoublé de son pendant cinématographique ÉTONNANTS SCÉNARIOS, dirigé par la Française ISABELLE FAUVEL, dénichée par LE BRIS .
Le CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE BAMAKO y apporte sa bénédiction avec la servilité fratricide du Malien MOUSSA KONATÉ, co-directeur du Festival, et mis à la tête d’une maison d’édition se faisant appeler LE FIGUIER (comme L’OLIVIER de COHEN), qui contribue à piller l’imaginaire malien à travers, entre autres, de pseudos concours littéraires organisés entre de jeunes talents. Une autre façon de faire du STOCK DE MATIÈRES PREMIÈRES mises au service du réseau! Un système de PILLAGE DE MATIÈRES GRISES et de MINES D’OR CULTURELS conçu selon le même principe que le concept d’IMMIGRATION SÉLECTIVE lancé par l’arrogant président français NICOLAS SARKOZY.
Ce réseau maffieux, conçu à partir de la France, réunit des acteurs en apparence éloignés par les intérêts idéologiques, tissant entre eux des liens cachés, chacun voulant sa part du gâteau. Ainsi, PRÉSENCE AFRICAINE, contrairement à sa ligne éditoriale affichée, est aussi une filiale de cette maffia, fonctionnant en réseau triangulaire avec l’HARMATTAN et MENAIBUC, se servant du Sénégalo-Malien DOUMBI FAKOLI pour endosser ses contrefaçons comme le fait le groupe SEUIL-LE BRIS avec le Congolais MABANCKOU. À cela s’ajoutent les PROCÉDÉS D’ÉCHANGES DE BONS SERVICES entre ces différentes maisons employant souvent les mêmes collaborateurs, comme l’ethnologue malien YOUSSOUF TATA CISSÉ, prenant part aux contrefaçons et très impliqué dans les milieux maçonniques français à qui il livre les secrets mystiques du Mali, arrachés aux Grands Initiés du terroir devant lesquels il se prévaut de son statut de Forgeron qu’il renie dans ses écrits. Tout ce beau monde bénéficie de l’IMPUNITÉ accordée par l’INSTITUTION JUDICIAIRE FRANÇAISE qui cautionne tous les CRIMES commis au nom de la France. Comme elle a cautionné l’ESCLAVAGE, la COLONISATION et les ASSASSINATS POLITIQUES en AFRIQUE.

RECONSTITUTION D’UN PUZZLE DIABOLIQUE

Le constat ainsi dressé est le fruit d’un recoupement de faits remontant VINGT ANS EN ARRIÈRE : 1989. Par souci de concision et de simplification, je commencerai par une période un peu plus récente brossant un bref aperçu tiré de mes expériences personnelles avec ce milieu.
J’ai avec moi un prix de ’’CONCOURS LITTÉRAIRE ’’ obtenu en 1999 à BAMAKO, lors d’un appel aux talents organisé par le CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE BAMAKO et la maison d’édition, LE FIGUIER, dirigée par MOUSSA KONATÉ. Ce prix m’a été décerné pour des poèmes que j’avais présentés à l’occasion de ce défi lancé par MOUSSA KONATÉ et le CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE BAMAKO dans le but déclaré de découvrir une « nouvelle forme d’écriture », avec la promesse de publication des lauréats dans un OUVRAGE COLLECTIF. À l’époque, j’ai rencontré plusieurs fois MOUSSA KONATÉ qui, lui-même ne savait pas quand ces œuvres allaient être publiées. Il était perplexe et aussi mélancolique que MABANCKOU confiant sa tristesse prémonitoire dans VERRE CASSÉ au sujet de son «cahier» dont il se demande s’il peut être fier tout en avouant son sentiment d’écrire son «testament». C’était exactement le même sentiment de misère irrémédiable qui se dégageait du taciturne MOUSSA KONATÉ quand je lui rendais ces sporadiques visites-surprises. Il m’incitait même à quitter le pays, au motif que l’environnement n’y était pas propice à la création littéraire et à un homme de culture. Cette attitude suspecte alerta tout de suite mes sens, même s’il est vrai qu’à l’époque d’autres personnes me faisaient la même recommandation, compte tenu de différentes affaires auxquelles je faisais face et qui défrayaient la chronique (notamment mon procès en contrefaçon contre le metteur en scène, OUSMANE SOW, pour le vol de ma pièce de théâtre). MOUSSA KONATÉ, à l’évidence, cherchait à m’éloigner du pays par peur de mes articles incendiaires qui faisaient des ravages dans les milieux maffieux…
J’ai dû quitter le Mali sans que mes poèmes soient publiés et perdu de vue MOUSSA KONATÉ pendant toutes ces années d’exil passées dans la solitude de l’hiver boréal du Canada à écrire ODYSSÉES NOIRES / AMOURS ET MÉMOIRE D’OUTRE-MONDE / LA MAIN DE SOUMAHORO ET LA MORT D’UN MYTHE.

LE TRAQUENARD

Après mes déboires avec le SEUIL en 2004 , je finis la 2e version de mon manuscrit en JUIN 2005 et contactai par téléphone mesdames CHRISTIANE DIOP et BINTOU TOURÉ de PRÉSENCE AFRICAINE. Ces deux dames me supplièrent presqu’à genoux de leur envoyer mon manuscrit « le plus tôt possible », avec la promesse solennelle de le publier dans le mois qui suit. Je le leur envoyai le 1er juin 2005, et eus beaucoup d’échanges téléphoniques avec elles, BINTOU TOURÉ allant jusqu’à me dire : « Si tu étais à Paris, je passerais tout mon temps chez toi, à parler de l’histoire africaine …» Puis, subitement, le ton se mit à changer. On se mit à me demander tantôt d’amputer mon manuscrit « parce que personne ne lit plus les gros ouvrages », tantôt de soumettre mon manuscrit à l’ethnologue malien YOUSSOUF TATA CISSÉ ( pourtant indexé dans mon ouvrage pour sa contrefaçon de l’histoire mandingue en se servant du pauvre griot WÂ KAMISSOKO dont il porte la mort sur la conscience), tantôt à DOUMBI FAKOLI (très concerné aussi par mon écrit, à cause des révélations sur « son » Ancêtre Fakoli). Tantôt on me reprochait la teneur explosive de mon ouvrage qui risque de voir des gens « tomber » sur moi, dont DOUMBI FAKOLI. On se mit ensuite à me dire d’attendre la décision d’un fictif « comité de lecture » avant d’être éventuellement publié en janvier. Puis commença un ÉTRANGE JEU DE PING-PONG qui vit entrer en scène un nouvel acteur : DENYS PRYEN de l’HARMATTAN qui, au dire de madame CHRISTIANE DIOP, me publierait « moyennant quelque chose » (de l’argent), si j’étais trop pressé. À ma demande de me retourner mon ouvrage, PRÉSENCE AFRICAINE, alla jusqu’à fabriquer un FAUX RÉCÉPISSÉ POSTAL, attestant que mon manuscrit m’a été envoyé. Il a fallu l’intervention de la journaliste camerounaise MARIE-ROGER BILOA pour que je reçoive finalement mon manuscrit en septembre 2005. Entre-temps, leur complice DENYS PRYEN de l’HARMATTAN avait réussi à me convaincre de lui envoyer mon manuscrit par internet par « souci de rapidité », et me tint ensuite le GROSSIER MENSONGE selon lequel il ne l’a pas reçu et de le lui renvoyer en « 3 BLOCS » (sic)...

En OCTOBRE-NOVEMBRE 2005, JE RÉUSSIS À PUBLIER MON LIVRE À COMPTE D’AUTEUR.

LA RÉSURGENCE D’UN DOULOUREUX PASSÉ ET LE TRISTE CONSTAT D’UN VASTE RÉSEAU DE MALFAITEURS

En AVRIL 2006, je découvre fortuitement sur internet la CONTREFAÇON signée par le Sénégalo-Malien DOUMBI FAKOLI (L’origine biblique du racisme anti-noir ), publié en février 2006 chez MENAIBUC dirigée par le Camerounais SALOMON MEZEPO. Rien que le TITRE de l’ouvrage suffisait à me fixer sur la question. C’était presque le TITRE D’UN CHAPITRE DE MA 1ÈRE MOUTURE envoyée au SEUIL en juin 2004. Après deux mois passés à m’en remettre dans un stoïque silence, je décidai en juin 2006 d’envoyer un courriel de protestation à PRÉSENCE AFRICAINE qui ne réagit pas. C’est DOUMBI FAKOLI qui, pris de panique, RÉAGIT EN MOINS DE 24 HEURES, par un courriel fait à la fois de caresses, d’intimidation et de menaces, se compromettant de façon grave et irrémédiable…
En AOÛT 2006, je fis commander son livre de Paris et acquis la CONFIRMATION de la CONTREFAÇON, prenant comme socle la partie de mon manuscrit que CHRISTIANE DIOP me proposait d’AMPUTER, et pillant tous les petits détails contenus dans mon ouvrage. J’Y DÉCOUVRE D’AUTRES ÉLÉMENTS qui n’existent que dans ma 1ère version envoyée au SEUIL en juin 2004. Je sursautai, tellement je n’en revenais pas. Le LIEN entre PRÉSENCE AFRICAINE et le SEUIL était INDÉNIABLE.
Le 21 août 2006, j’ébruitais l’affaire auprès des MÉDIAS par un courriel dans lequel je faisais notamment état des 3 À 4 LIVRES que DOUMBI FAKOLI publie par an et d’un RÉSEAU D’ESCROCS opérant depuis plusieurs années de FAÇON TRIANGULAIRE et aussi de ma certitude que cette « affaire a un LIEN avec un CRAPULEUX INCIDENT qui m’est arrivé en 1995 À PARIS (vol de manuscrit dans le métro, alors que je quittais le siège de PRÉSENCE AFRICAINE) et pour lequel j’avais porté PLAINTE CONTRE X à la POLICE JUDICIAIRE DE LA GARE DU NORD ».
Je rappelais aussi mon entretien avec la GENDARMERIE ROYALE DU CANADA que j’avais alertée à l’occasion. Affolé par l’ampleur que prenait l’affaire, DOUMBI FAKOLI réagit encore, avec son imprudence légendaire, par un court courriel en me traitant de « malade mental » et en me souhaitant « BONNE CHANCE » (sic) pour la procédure judiciaire que je comptais déclencher contre lui. À l’évidence, DOUMBI FAKOLI se sent HORS DE DANGER DE POURSUITE JUDICIAIRE, compte tenu de la PROTECTION SECRÈTE dont il bénéficie auprès du système français, en sa qualité d’AGENT DE DIVERSION (et D’INFILTRATION ?).
Le vendredi 2 JUIN 2006 , je RENCONTRE MABANCKOU pour la première fois à MONTRÉAL, à l’occasion du centenaire de la naissance du poète Léopold Sédar Senghor. Ne me doutant pas que le SEUIL lui avait remis mon manuscrit dont il avait fait une 1ère contrefaçon parue en janvier 2005, sous le titre de VERRE CASSÉ, je lui avais spontanément offert un exemplaire de mon livre. À mon grand étonnant, il s écria ainsi : « AH, C’EST VOUS? C’EST VOUS? ». Il le répéta deux fois, avec un rire nerveux fait de stupéfaction et d’admiration. On aurait dit qu’il venait de voir un revenant. Mais où donc avait-il entendu parler de moi? Il me vint à l’esprit une conversation que j’avais eue avec DENYS PRYEN qui m’avouait qu’on parlait beaucoup de mon manuscrit dans le milieu éditorial français. Et aussi avec le Camerounais CHARLES ONANA (des éditions DUBOIRIE) qui m’avait aussi dit au téléphone que BINTOU TOURÉ se promenait partout à Paris avec mon manuscrit. Je finis par conclure que c’est dans ce cadre que MABANCKOU avait entendu parler de moi. Après cet instant de surprise où il s’est trahi en me dévoilant qu’il me connaissait, MABANCKOU se trouva soudainement dans un état de gêne indescriptible. Il baissait la tête et évitait de me regarder dans les yeux… Je me souviens même qu’à un moment où il discutait avec des compatriotes, il se tut à mon approche. C’était vraiment louche! Je lui laissai ma carte de visite et lui demandai son courriel, en lui recommandant de lire mon livre. Et il me répondit : « Oui, je vais le lire! Je vais le lire! » Le lendemain, je lui envoyai un courriel auquel il n’a jamais répondu. Après, je lui ai envoyé le courriel ayant trait à la contrefaçon de DOUMBI FAKOLI. Et brusquement, il changea d’adresse de courriel. C’était évident que ce monsieur me FUYAIT!

LA MACHINE À CONTREFAÇONS RELIANT BAMAKO À PARIS

MARS 2007 : Je découvre la CONTREFAÇON de MABANCKOU avec MÉMOIRES DE PORC-ÉPIC, publié en août 2006, seulement deux mois après ma rencontre avec lui. Le vendredi 16 mars 2008, son livre me tomba dans la main à la Bibliothèque de Rosemont. Le lendemain samedi, après la lecture de quelques pages, le constat de la contrefaçon était indéniable. Je décidai pourtant de l’évacuer. J’arrêtai même ma lecture et vaquai à autre chose. Tard dans la nuit, je revins sur le livre, me convainquant que ce n’était que des coïncidences. Et quelques pages me confirmèrent presque dans cette consolation (forcée) jusqu’à ce que je tombe sur la partie où répondant mot à mot à ma critique contre les ethnologues, et en particulier YOUSSOUF TATA CISSÉ, MABANCKOU s’attaque à moi, en répercutant des échos d’une vive discussion téléphonique que j’avais eue avec madame CHRISTIANE DIOP de PRÉSENCE AFRICAINE… C’en était trop! Je réussis à finir ma lecture le dimanche 18 mars. Je relus entièrement le livre le même jour et constatai qu’au delà de la contrefaçon, c’était une attaque en règle contre moi et des Ancêtres bien précis, dans un langage codé. J’y voyais, grosse comme une montagne, la main vengeresse de YOUSSOUF TATA CISSÉ ( qui collabore à la fois avec le SEUIL et PRÉSENCE AFRICAINE). MABANCKOU en aucun cas, ne peut savoir certaines choses écrites dans MÉMOIRES DE PORC-ÉPIC relatives à l’histoire secrète mandingue livrée dans un langage codé. Le lundi 19 et le mardi 20 mars, j’adressai deux courriels à Mabanckou (dont un sur son site web) en l’avisant de la situation. Pas de réponse. Le mercredi 21 mars, j’envoyai un autre courriel à son attachée de presse MARIE LAGOUANELLE, puis j’appelai au SEUIL et réussit à lui parler. Elle ne nia même pas, me demanda si mon livre avait été publié (ce que je lui confirmai en l’invitant de consulter mon site web). Quand je lui dis de surcroît que j’en ai donné un exemplaire à Mabanckou, elle s’en désolidarisa tout de suite et me dit qu’elle a transmis le message au « Grand boss ». Je lui donnai un ultimatum de 24 heures pour m’offrir une solution de sortie, avant que je n’ébruite l’affaire. Pas de réaction! Je fis un communiqué de presse le 26 mars.
Avril 2007 : Après des MISES EN DEMEURE adressées au Seuil, Présence Africaine et Doumbi Fakoli, Je découvre la 2E CONTREFAÇON de MABANCKOU, à l’occasion du Festival littéraire MÉTROPOLIS BLEU à Montréal. Le dimanche 29 avril, après une confrontation publique avec Mabanckou, on vint me remettre le livre VERRE CASSÉ en présence d’une journaliste française qui m’avait dit avoir entendu lors d’un comité de rédaction de son journal que VERRE CASSÉ était aussi une contrefaçon. C’est pendant que je discutais avec elle, qu’on est venu me remettre ce livre dont le premier survol me fit hurler d’horreur…
L’examen de cette contrefaçon laisse aussi voir l’implication de l’ethnologue YOUSSOUF TATA CISSÉ, relativement à certains pans de l’histoire mandingue racontée selon toujours le même procédé de langage codé, en jouant souvent sur les proximités de sonorisation entre les noms de lieux. Plus que cela, MABANCKOU fait allusion à mon procès en contrefaçon contre OUSMANE SOW, au Mali, en se servant de l’homonymie que ce metteur en scène a avec le sculpteur sénégalais. Il va jusqu’à y mettre des MESSAGES CABALISTIQUES m’avertissant que je suis TRAQUÉ PAR LEUR SECTE OÙ QUE J’AILLE et qu’un de ces jours, je vais finir par PÉTER LE PLOMB, au point de TUER QUELQU’UN. Mais le plus frappant est que j’y découvre un bout de vers d’un de MES POÈMES mis à la disposition de MOUSSA KONATÉ et du CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE BAMAKO en 1999. Je compris alors la part de MOUSSA KONATÉ dans cette affaire. Je compris aussi pourquoi le CENTRE CULTUREL FRANÇAIS ne m’a jamais répondu quand je leur ai envoyé un exemplaire de mon livre en été 2006 en même temps qu’à la BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DU MALI qui m’a répondu sur le champ.

LA COMPLICITÉ DES MÉDIAS

Le 1er MAI 2007, je me rendis à la radio haïtienne de Montréal, CPAM, pour parler des deux contrefaçons de Mabanckou. Le même jour, l’animateur haïtien lui envoya un courriel. Affolé, Mabanckou l’appelle 3 fois à la radio, puis lui envoie un courriel dans lequel il affirmait ne m’avoir jamais rencontré, avoir cherché mon livre partout sans le trouver (pour quoi faire avec?), que je cherchais à le démolir auprès des radios communautaires, vu que ma campagne de médiatisation n’a pas marché au niveau de l’International (et pourquoi donc?). Il ajoutait qu’il se demandait même si je suis écrivain et si j’ai déjà écrit un livre, me traitant de « fou à lier ». L’animateur me dit aussi que Mabanckou était si ÉBRANLÉ qu’il lui a confié : « Si le frère cherche un éditeur, qu’il vienne me voir pour que je lui en trouve un, au lieu de m’attaquer ». Ainsi, Mabanckou, tout en affirmant que je ne suis pas un écrivain, essaie de me CORROMPRE en me proposant de me trouver un éditeur pour que je le laisse en paix.
Il dit aussi à l’animateur que : « Ce monsieur n’en est pas à sa première accusation. Il avait fait la même chose avec son compatriote DOUMBI FAKOLI. » Et voilà que MABANCKOU se trahit la 2e fois. Tout en prétendant qu’il ne me connaissait pas et qu’il ne m’avait jamais vu, voilà qu’il affirme que je n’en suis pas à ma première accusation. Comment le sait-il s’il ne me connaît pas? Et comment peut-il savoir que je suis un « compatriote de DOUMBI FAKOLI »? Un mois plus tôt, il avait fait le même numéro avec le journaliste camerounais ÉTIENNE DE TAYO qui le rapporte dans un article intitulé ’’MABANCKOU A T-IL PLAGIÉ?’’ (www.edetayo.blogspot.com/2007/05/renaudot-alain-mabanckou-t-il-plagie.html). Dans son courriel, Mabanckou avait écrit le verbe « voir » comme ci : « voire ». Je soulignai à l’animateur haïtien cette faute que ne ferait même pas un élève du primaire en lui disant : « Penses-tu vraiment que celui-là est un écrivain? ». Le lendemain, mon SITE WEB affichant mon livre fut ÉTEINT DE FAÇON MYSTÉRIEUSE et ne sera jamais rétabli, malgré mes démarches. On attribua mon nom de domaine http://www.kanteka.com/ , composé de mon 2e nom , à une agence de voyage affichant sur la page d’accueil une BLANCHE me narguant avec son sourire de « RACE ARYENNE ». On se serait cru dans un roman de DANY LAFFERIÈRE. Le message est très clair : LA FACE BLANCHE PREND LA PLACE DE LA NOIRE. Ceci pour dire que la MÉMOIRE AFRICAINE rétablie dans mon ouvrage doit être OCCULTÉE par l’oripeau du MENSONGE BLANC et la RÉAFFIRMATION DE LA SUPRÉMATIE BLANCHE SUR LE NOIR dont Mabanckou figure parmi les hérauts à travers une littérature frelatée et contrefaite.
L’animateur haïtien, lors de ma 2e intervention le 3 mai, prit le risque de lire le courriel de Mabanckou sur les ondes, tout en se livrant à un JEU SUSPECT, répétant une phrase de VERRE CASSÉ : « Tu n’as pas peur qu’ils disent que tu PÈTES LES PLOMBS? ». Tous ceux qui ont écouté cette émission ont mis en cause la DÉMARCHE SUSPECTE de cet animateur haïtien, GAROUTE BLANC. Mais, je me suis fait le serment de ne jamais poursuivre un frère de la diaspora. GAROUTE BLANC et son patron JEAN ERNEST PIERRE (un avocat) peuvent s’estimer heureux d’être Haïtiens...
Après cet incident, un Africain, ayant été TÉMOIN de ma rencontre avec Mabanckou, m’envoya la PHOTO qui le montre à côté de moi, avec mon livre sous le bras. J’envoyai cette photo aux MÉDIAS FRANÇAIS et QUÉBÉCOIS qui continuent encore à garder un ÉTRANGE SILENCE sur cette scandaleuse affaire…
À la même époque, j’appris que NICOLAS SARKOZY dans sa CAMPAGNE ÉLECTORALE a PROMIS une CHAIRE DE LITTÉRATURE à MABANCKOU. C’est un Français scandalisé par cette déclaration (qu’il estime malveillante) qui m’en fit part, en m’exhortant d’en aviser les médias français qui ne s’intéressent qu’aux SCANDALES POLITIQUES. Je n’en fis rien…

TENTATIVE DE CORRUPTION ET DE NÉGOCIATION

JUIN 2007 : L’ébruitement de l’affaire Mabanckou inspira à SALOMON MEZEPO, l’éditeur de la CONTREFAÇON du Sénégalo-Malien DOUMBI FAKOLI, à me faire une proposition assez extraordinaire : diffuser mon livre à travers le monde, rééditer mon livre et signer un contrat d’édition avec moi pour tous mes livres à venir. Que me valait donc tant d’« honneur »? Je lui répondis qu’au lieu de me proposer quoi que ce soit, il ferait mieux d’exécuter la MISE EN DEMEURE que je leur ai adressé (la restitution totale de toutes les recettes réalisées dans la vente de la contrefaçon et la destruction des œuvres contrefaisantes), sans quoi il ne pourrait plus se prévaloir d’une maison d’édition. Avant cela, il m’avait déjà envoyé un courriel le mois de mars pour me dire qu’ils n’ont plus de stock des œuvres contrefaisantes.
Peu de temps après, j’eus la confirmation que DOUMBI FAKOLI est impliqué dans le VOL DE MON MANUSCRIT EN 1995 à dans le métro de PARIS, alors que je venais de quitter le siège de PRÉSENCE AFRICAINE. Il l’a reproduit dans un livre intitulé AFRIQUE : LA RENAISSANCE, paru en 2000… Je reviendrai sur cet épisode dans un DOSSIER SPÉCIAL qui fait resurgir de vieux démons qu’on croyait enterrés à jamais.

SEPTEMBRE 2007 : UN COUP DE FIL INATTENDU DE PARIS venant de la PERSONNE LA PLUS INATTENDUE (dont je tais l’identité) me surprit le mercredi 12 septembre 2007, à une heure assez avancée de la nuit (20-20h 30 à Montréal et 2-2h30 du matin, à Paris). Il coïncida avec la période où j’étais en train de boucler mes enquêtes sur ce réseau avec l’intention de les ajouter à mon dossier de justice. J’avais décidé de me passer des services d’un avocat, persuadé maintenant que les AVOCATS aussi contribuent à ce SYSTÈME D’IMPUNITÉ accordée aux contrefacteurs. Un GRAND CABINET DE PARIS avait FALSIFIÉ DES TEXTES DE LOI pour me décourager de poursuivre DOUMBI FAKOLI. Avant lui, un AVOCAT QUÉBÉCOIS essaya de me faire avaler l’invraisemblable et FAUSSE INFORMATION selon laquelle L’ŒUVRE D’UN ÉCRIVAIN ou ARTISTE AFRICAIN devient LA PROPRIÉTÉ DE TOUT LE MONDE. Une façon de dire que tout ce qui vient d’un Africain doit être EXPOSÉ AU PILLAGE. C’est le RACISME dans sa forme LA PLUS PERNICIEUSE…
C’est donc à cette époque que me parvint de Paris ce fameux COUP DE FIL. Son auteur, très impliqué dans ce milieu, avait consulté mes tableaux comparatifs, mon interview et mon article sur ’’Les francs-maçons de la contrefaçon’’ figurant sur http://www.montraykreyol.org/, discuté avec Étienne De Tayo (auteur d’un article sur le sujet), et n’avait plus de doute sur la situation. Son intention avouée était de me donner des conseils utiles pour échapper aux PIÈGES DE LA JUSTICE FRANÇAISE. Il me conseillait de LAISSER LE SYSTÈME EN PAIX et de ME FOCALISER SUR MABANCKOU si je veux gagner mon procès. Il me conseillait aussi de laisser tomber VERRE CASSÉ et de me focaliser sur MÉMOIRES DE PORC-ÉPIC. Je lui répondis que JE NE PEUX PAS ME FOCALISER SUR MABANCKOU PARCE QUE CE N’EST PAS À MABANCKOU QUE J’AI ENVOYÉ MON MANUSCRIT. Il me dit qu’il sait de quoi il parle et que CE N’EST PAS PAR HASARD QU’IL M’APPELLE.
Il me confirma les circonstances qui ont présidé au choix de Mabanckou au niveau du SEUIL confronté à de graves problèmes financiers, me parla des pratiques occultes ayant cours dans cette maison très négrophobe qui se sert des Noirs pour les exploiter avant de s’en « débarrasser » (j’adoucis le mot exact qu’il a employé). Il finit par me demander : « MABANCKOU est toujours FOURRÉ chez vous au MALI. QU’EST-CE QU’IL FOUT DONC LÀ-BAS? »
Je repose la même question aux traîtres MOUSSA KONATÉ, YOUSSOUF TATA CISSÉ et tous ces renégats qui, par cupidité, par servilité, par aliénation ou par pouvoirisme, concourent à la PERTE DE LEUR PAYS en fricotant avec de DÉVOYÉS FRANCS-MAÇONS FRANÇAIS ayant fait de l’Afrique leur repaire depuis des siècles, portant sur leur conscience tous les GÉNOCIDES (physiques et culturels) qui ensanglantent ce continent, le maintenant dans l’avilissement le plus outrancier.

LA BARRIÈRE DES JUGES CORROMPUS

Quelles que soient les véritables motivations de ce mystérieux coup de fil, ses mises en gardes se vérifient pour l’instant, par le BLOCAGE illégal créé par les DEUX VÉREUX MAGISTRATS FRANÇAIS, NATHALIE DUTARTRE et PATRICK GACHON, confirmant le GRAND MALAISE qui mine la FRANCE du fait de ses INJUSTICES SOCIALES qu’elle exporte chez des gens qui n’ont pas encore fini de régler leurs propres inégalités. C’est un piège dont ils seront les premières victimes, car cette affaire risque de déboucher sur des situations inattendues. Parce qu’ELLE EST LOIN D’ÊTRE FINIE, CETTE AFFAIRE. Plus la situation pourrit, plus il en sortira des vers de terre qui rongeront LE PEU DE CRÉDIT DONT BÉNÉFICIE LA FRANCE en Afrique et dans le reste du monde. Tôt ou tard, ÇA EXPLOSERA À LEUR GUEULE. Les ÉMEUTES DES BANLIEUES PARISIENNES ne seront rien à côté du dénouement que prendra cette affaire. Parce qu’une chose est sûre, JE NE LAISSERAI PAS TOMBER TANT QUE JE N’OBTIENDRAI PAS JUSTICE. Et je N’HÉSITERAI PAS À DIFFUSER LES INFORMATIONS QUE J’AI.
Étouffée au départ par les médias corrompus, cette affaire est SUIVIE aujourd’hui dans 45 PAYS (dont 15 d’Europe, 18 d’Afrique, 4 d’Amérique, 4 des Caraïbes, 2 d’Asie, 2 d’Arabie) et en 8 LANGUES (français, anglais, allemand, castillan, flamand, finnois, arabe, portugais). Les gens qui suivent cette affaire, s’intéressent beaucoup aux deux juges français, NATHALIE DUTARTRE et PATRICK GACHON, qui doivent certainement avoir de sérieux antécédents dans ce genre de pratiques. Les médias qui ont cru au départ pouvoir étouffer cette affaire se trouvent de plus en plus discrédités et abandonnés par un lectorat affamé de vraies informations. LA VÉRITÉ EST QUELQUE CHOSE QUI NE PEUT SE LAISSER MUSELER LONGTEMPS. Ce ne sont pas les MENACES DE MORT, les FILATURES, les ÉCOUTES ÉLECTRONIQUES et les sournoises formes de PERSÉCUTION qui peuvent me détourner de ma voie. Ils ont eu le malheur de TOMBER SUR LA MAUVAISE PERSONNE. LA SOLUTION EST SIMPLE : APPLIQUER LA JUSTICE À LA LETTRE ET CESSER CES CRIMES ABOMINABLES CONTRE L’AFRIQUE ET LES AFRICAINS. RACISTES!

L’INTERNATIONALE DE LA CONTREFAÇON : L’IMPLICATION QUÉBÉCOISE

LUNDI 14 AVRIL 2008, dans une SALLE DE CINÉMA de MONTRÉAL, je me trouvais dans le but de faire des articles sur le cinéma africain dans le cadre du FESTIVAL VUES D’AFRIQUE, créé par le Français GÉRARD LECHÊNE, installé à Montréal quand je surpris un film reprenant plusieurs de mes thèmes dont un thème central, des scènes relatives à mes expériences personnelles, mettant en jeu un acteur central ayant à peu près le même profil que moi, etc, reprenant aussi un article que j’ai écrit en 1999 dans LE RÉPUBLICAIN, le quotidien malien où je travaillais à l’époque. À la fin du film, pendant la période des questions, je demandai au réalisateur africain devant tout le monde : « QUI A ÉCRIT LE SCÉNARIO DE CE FILM? » Décontenancé par la question, il se mit à bégayer : « J’avais commencé à l’écrire tout seul. Puis, JE ME SUIS FAIT AIDER PAR DEUX AUTRES PERSONNES… OUI, JE ME SUIS FAIT AIDER PAR DEUX AUTRES SCÉNARISTES… »
Je le remerciai et sortis fumer une cigarette pour reprendre mes esprits. Je revins dans la salle à la fin de la période des questions et m’approchai de lui, lui tendant ma carte : « Monsieur, il y a beaucoup de similitudes entre votre film et mon livre », dont je lui montrai un exemplaire (son film est postérieur à mon livre). Il ne dit rien et s’éclipsa. Le lendemain, je téléphonai à la GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Rendez-vous fut pris pour le jour suivant (mercredi 16 mai). J’eus un entretien de 2 heures avec l’enquêteur qui, visiblement, connaît très bien le mode de fonctionnement de ce réseau. J’ai insisté pour qu’il interroge le réalisateur africain, ne serait-ce que pour remonter au réseau qui l’emploie. Il m’a promis de le faire et de me donner un coup de fil. J’attends encore ce coup de fil promis…
VENDREDI 18 MAI À MONTRÉAL : C’est véritablement ce jour que la boucle fut bouclée avec le colloque animé, au siège de RADIO-CANADA, par la Française ISABELLE FAUVEL, dénichée par MICHEL LE BRIS pour diriger ÉTONNANTS SCÉNARIOS, qui met en contact les auteurs africains et des scénaristes, réalisateurs et producteurs de film. D’entrée de jeu, cette dame se trahit en POUSSANT un HURLEMENT quand je vins déposer mon DICTAPHONE pour enregistrer ces propos. Elle poussa un CRI avec un geste de recul : « AAAH! C’EST QUOI ÇA! ÇA N’EXPLOSE PAS, HEIN! » Incroyable, mais vrai!!!
Cette dame, visiblement informée de ma présence dans la salle (par qui?) ne se sentait pas à l’abri, sachant ce qu’ils m’ont fait. Je me contentai de lui dire avec un sourire narquois : « NON, ÇA N’EXPLOSE PAS. CE N’EST QU’UN DICTAPHONE! »
C’est à l’occasion de ce colloque que j’appris que MABANCKOU a reçu à VENDRE des DROITS D’ADAPTATION CINÉMATOGRAPHIQUES de VERRE CASSÉ à un réalisateur CHILIEN et un producteur FRANÇAIS à la suite d’une RENCONTRE à BAMAKO. Je pris trois BROCHURES mises à la disposition du public et remarquai dans l’une d’entre elles cette inscription :
« Ce PROJET IMAGINÉ en partenariat avec le MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES et L’ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE a été coordonné par
ISABELLE FAUVEL assistée de THOMAS EDELIST. La coordination (Paris) a été assurée par DAVID BOILEAU et (sur place) par ALEXANDRE BARROUK. »
C’était la confirmation de ce qu’un écrivain français, victime du même réseau, me disait depuis le début. Il était persuadé que c’est un SYSTÈME CENTRALISÉ ET INTERNATIONAL, dont les directives viennent de la plus haute instance, ceci expliquant la scandaleuse attitude des juges obéissant au commandement central.
Une brève réflexion me permit de réaliser que le film qui reprenait des extraits de mes écrits cite les mêmes partenaires. Cette même brochure mentionne les structures maliennes qui participent au projet :
« Pour l’édition 2006 de NOUVEAUX PARTENAIRES nous ont rejoints : Monsieur le MINISTRE DE LA CULTURE DU MALI, CHEICK OUMAR SISSOKO, le CENTRE NATIONAL DE LA CINÉMATOGRAPHIE DU MALI (MOUSSA OUANE) et le CENTRE CULTUREL FRANÇAIS DE BAMAKO (JEAN-LUC BAILLET) »

Voilà le PUZZLE ainsi reconstitué, correspondant trait par trait à la VIEILLE STRUCTURE COLONIALE servant à acheminer les richesses économiques de l’Afrique vers l’Europe. C’est le MÊME SYSTÈME REPRODUIT SUR LE PLAN CULTUREL, avec la bénédiction des instances locales. QUE TOUT CE BEAU MONDE SE DÉTROMPE EN CROYANT QU’ILS VONT CONTINUER À PILLER le MALI et les MALIENS dans l’impunité. Le MALI est un PAYS MYSTÉRIEUX qui réagit au moment où l’on ne s’y attend pas. Il y a un MALI INVISIBLE, inconnu à la fois du colon blanc et nègre, si malien soit-il. Et ce MALI, INVISIBLE ET MYSTIQUE, dont nous sommes les héritiers, NE PARDONNE PAS CERTAINES CHOSES. LA SORCELLERIE des FRANCS-MAÇONS ne pourrait PAS GRAND-CHOSE contre ces FORCES DE L’INVISIBLE.
Qu’ils se le tiennent donc pour dit : NOUS NE NOUS LAISSERONS PAS FAIRE. ET NOUS N’AVONS AUCUNE INTENTION d’être en EXIL dans NOTRE PROPRE PAYS. LA VIOLENCE ENGENDRE LA VIOLENCE. Et il n’y a PAS PLUS GRAND FOU QUE CELUI qui veut ARRÊTER Le cours de L’HISTOIRE. ON NE PEUT EMPÊCHER L’HISTOIRE de SUIVRE SON COURS, SA ROTATION, sinon LE BLANC lui-même n’aurait JAMAIS RÊVÉ un jour SOUMETTRE L’AFRIQUE QUI A RÉGNÉ DES MILLÉNAIRES durant SUR LE MONDE…


MOUNTAGA FANÉ KANTÉKA
JURISTE, ÉCRIVAIN-POÈTE ET JOURNALISTE D’INVESTIGATION
’’ L’énigme Mabanckou ou comment devenir ’’auteur’’ célèbre sans être écrivain ’’