samedi 20 septembre 2008

LETTRE À OLIVIER COHEN, UN HOMME SANS HONNEUR


« Il me semble également que la parole la plus grossière, la lettre la plus grossière, sont encore plus aimables et plus civiles que le silence. Ceux qui se taisent manquent presque toujours de finesse et de politesse du cœur : leur silence est un argument contre eux, avaler les affronts donne nécessairement mauvais caractère – et cela gâte même l’estomac. Tous ceux qui se taisent sont dyspepsiques. »  NIETZSCHE, ECCE HOMO

Paré de toute l’ironie dont se sert souvent la main du sort pour frapper l’infortuné, j’interpelle aujourd’hui le « Juif errant », Olivier Cohen, avec les propos mêmes du philosophe de la « volonté de puissance », pourtant voué à une vie d’errance!
Interpeller le « Juif errant » avec les mots du philosophe errant, est un privilège que je m’accorde avant de porter le coup fatal à celui qui m’a spolié de ma sueur et de mon honneur. Pas une fois, ni deux fois, ni même trois fois. Mais bien plus, comme l’attestent mes récentes découvertes relatives aux contrefaçons endossées par le producteur californien TIM KRING avec ’’HEROES’’ (’’Les Héros’’), à la fois bande dessinée et série télévisée, dont je n’ai pas encore fini de dresser les innombrables tableaux comparatifs. Voilà la boucle bouclée avec le meurtre consommé du créateur sous la forme de CONTREFAÇONS MULTI-MÉDIAS.
COMBIEN DE FOIS SUIS-JE DONC MORT SOUS VOS MAINS, MONSIEUR OLIVIER COHEN?
Monsieur Cohen, vous êtes décidément L’UN DES PLUS GRANDS VOLEURS DE CE SIÈCLE. Et pour cela – seulement pour cela – vous rentrerez dans l’Histoire… par la petite porte. Petit monsieur aux mains crasses et cleptomanes pour qui la vie se résume à amasser des sous pourris, peu importe le prix à payer! Petit bonhomme aux féroces instincts vampiresques dont la seule arme face à l’AFFRONT-QUI-TUE est le SILENCE-TREMBLOTANT-ET-CALCULATEUR! Maudit soyez-vous par la volonté céleste! Le centième des accusations portées contre vous, pousserait un homme d’honneur à se tirer une balle dans la tête. Mais vous faites partie de ces gens qui ne se suicident jamais pour une question d’honneur! Il vous en faut plus pour vous changer de la vie de zombie qui est la vôtre depuis ce jour où vous avez signé le pacte avec le Diable…

Les faits, les chiffres, les mots, tout a parlé contre vous. Le petit nègre de service, lui-même, embauché pour servir de façade à vos basses besognes, a parlé contre vous, allant jusqu’à parler d’assassinats et de sorcellerie que vous portez sur la conscience – COMBIEN D’INNOCENTES VICTIMES AVEZ-VOUS À VOTRE ACTIF? COMBIEN EN AVEZ-VOUS ASSASSINÉES ET/OU MANGÉES? Je vous le demande devant Dieu et les hommes…
Sans doute, comptiez-vous sur l’incompréhension du lecteur face à ces étranges confessions faites dans ’’VERRE CASSÉ’’ et ’’MÉMOIRES DE PORC-ÉPIC’’ ? Décodés et portés à la connaissance du grand public, ces aveux vous dénudent comme des SORCIERS SURPRIS EN PLEINE BACCHANALE. Et face à l’opprobre, monsieur Cohen, vous restez là, prostré dans ce SILENCE avilissant qui ne peut honorer un quelconque homme imbu d’un minimum de dignité. Vous aviez une chance de sauver un semblant d’honneur, en essayant de protester ou de vous justifier. Au lieu de cela, vous avez encore envoyé au charbon votre petit nègre de service dont chaque propos, médiatisé à outrance, est un aveu qui tombe comme un coup de tonnerre…
Dans vos contrefaçons, en vain, avez-vous tenté de recourir à l’argument magique qu’est cet « ANTISÉMITISME » tonitruant qui sert aujourd’hui à la fois d’alibi et d’arme fatale à certains Juifs véreux pour imposer leur loi aux autres. La loi du « plus fort »! Une loi tirant argument de mystérieux préceptes attribués à la « BIBLE DE JÉRUSALEM » et destinée à piller les autres du fruit de leur labeur.
Olivier Cohen, maudit par tous les dieux de la création, vous aviez encore une ultime chance de vous laver de la fange en laissant la justice suivre son cours et tenter d’opposer des arguments de défense fallacieux pour obtenir un jugement truqué, comme c’est l’usage dans une France croulant sous le remugle de la décomposition. Au lieu de cela, vous vous êtes encore blotti, comme un enfant pourri par le favoritisme, derrière des intrigues judiciaires visant à offrir en compensation la tête de votre nègre de service sur le plateau d’une justice pestilentielle. Une tête d’orang-outan-aux-mœurs-sodomites dont je n’ai que faire… Qu’ai-je à faire avec la tête d’un semi-analphabète de l’acabit de Mabanckou?

Olivier Cohen, homme sans honneur et sans bravoure, n’ayant comme seul dieu que l’argent, vous aviez encore à votre disposition l’autre arme fatale servant d’échappatoire aux filous de votre engeance : la poursuite en diffamation pour atteinte à un honneur que vous n’avez pas et n’aurez jamais. Cette dernière chance, vous avez refusé de la prendre aussi. Toujours camouflé derrière ce SILENCE déshumanisant, tout vous est prétexte pour éviter de descendre dans l’arène afin de croiser le fer avec l’adversaire que vous avez dépouillé de sa sueur et de son honneur. Homme castré et complexé, PUISQUE VOUS REFUSEZ DE VENIR CROISER LE FER, C’EST LE FER QUI IRA VOUS CROISER OÙ QUE VOUS VOUS CACHIEZ, COMME UN HOMME SANS FOIE.
Olivier Cohen, homme sans foi ni loi, vous ne vous en tirerez pas à si bon compte. Devant Dieu et les hommes,  je réitère ma promesse: VOUS NE M’ÉCHAPPEREZ PAS. Vous pouvez échapper à la « justice » façonnée par et pour les hommes de rien. Mais, vous n’échapperez pas à ma justice calquée sur celle des Dieux…

Homme sans honneur, sans tripes et sans cervelle, lâche et voleur, je vous aurai… D’une manière ou d’une autre! J’aurai votre tête de PETIT BÂTARD! Ce que vous avez pris chez moi, vous le vomirez goûte par goûte. Avec votre bile et votre sang. VOUS EN AUREZ POUR VOTRE SORCELLERIE ET VOTRE VAMPIRISME. Le MEURTRE RITUEL perpétré sur moi dans ’’MÉMOIRES DE PORC-ÉPIC’’ trouvera preneurs dans vos propres rangs. MOUROUDIAN, l’Épée millénaire, n’aura de cesse de vous renvoyer, un par un, dans ces ténèbres de la damnation d’où vous êtes sortis de parmi les affaissés et les serpents…

Je le jure devant NARÉ, la REINE-MÈRE DU MANDEN, je vous ferai boire du fer en fusion comme l’a fait le PÈRE KAMA (SOUMAHORO-PÈRE) avec les ancêtres esclavagistes de YOUSSOUF TATA CISSÉ, l’ethnologue de la contrefaçon, morbide intriguant, tricheur et traître inné qui vous sert de personne-ressources, pour assouvir un mercantilisme atavique sur fond de vengeance historique. Si, avant de vous lancer dans votre folie meurtrière, vous aviez consulté les oracles, ils vous auraient dit qu’on ne s’attaque pas impunément à un FORGERON, Premier Fils du monde, et vous auraient mis en garde contre « ce jeune homme apparemment seul et sans soutien » qui, en réalité, est tout sauf ce que vous croyez dans votre naïve vanité… Et, détail qui passe inaperçu, le fait que cette lettre soit écrite à la veille du 22 SEPTEMBRE, jour anniversaire de l’indépendance de la République du Mali (ancienne colonie de la France pillarde), est tout sauf une coïncidence. C’est dire que cette GUERRE CONTRE LA CONTREFAÇON des ressources intellectuelles et culturelles du Mali s’inscrit dans ce long PROCESSUS DE DÉCOLONISATION qui tarde encore à devenir une réalité effective dans nos pays…
Monsieur Cohen, je prends congé de vous avec un proverbe du Manden qui vous sera sans doute traduit par l’ethnologue esbroufeur YOUSSOUF TATA CISSÉ. :

« Ni wara min ko k’a koun tchi, o koun bè tchi »

À très bientôt monsieur Olivier Cohen…

Mountaga Fané Kantéka
Juriste, journaliste d’investigation et écrivain-poète
ODYSSÉES NOIRES / AMOURS ET MÉMOIRE D’OUTRE-MONDE / LA MAIN DE SOUMAHORO ET LA MORT D’UN MYTHE